Le deuxième opus de DYE CRAP « Life is unfair », a été pensé comme un moyen direct de rencontrer son public. A la recherche de l’évidence, entre l’insouciance d’une adolescence enfuie et les tourments de jeunes adultes face à l’absurdité du monde.
Composé à la ferme près d’Évreux, les DYE CRAP se sont ensuite enfermés en pleine canicule dans le studio d’Antoine « Tonio » Kopp au Havre pendant une semaine. Nourris au pain suisse et au soda, les 4 garçons prendront la peine de rajouter de subtiles guitares acoustiques et autres synthétiseurs dans cet hymne à la fête saturée qu’est « Life is unfair ».
Ils se sont ensuite tournés vers les mains expertes de Thierry Minot pour le mixage et le mastering afin de transmettre au mieux les ambitions du groupe.
EXTRAITS DE PRESSE
« Né de la fin des Baked Beans, les Rouennais de Dye Crap en ont gardé l’énergie qui les habitait. Derrière “My Shits”, premier titre aux sonorités faussement early-80’s, le groupe enchaîne morceaux punkrock (“Booze Cruise”, “Still Wasted”) et garage (“Abandon Ship”, “Fight”) qui rappelleraient l’esprit des, maintenant, énormes Johnny Mafia – humour compris – (“Cooloroonie”) s’ils n’avaient pas choisi d’être plus gras, plus sales, plus lourds (“Candies”). Au final, un autre groupe à mettre dans la liste du renouveau actuel de la scène frenchie. Ici, on adore. » Rolling Stone
« Le nouveau groupe incontournable de la scène rock indé française ! Il y a seulement deux mois, les rouennais s’introduisaient au monde et posaient leur griffe avec My Shits. Après la sortie de deux autres singles, Cooloroonie et Daily Routine, l’album éponyme voit le jour. Flopée de guitares, de riffs et effets old school, les titres punks et solaires – Fight, Enemies – se mêlent à des teintes plus mélancoliques – Game Boy, Daily Routine. Si vous aimez le garage-punk et l’indie-pop, Dye Crap est fait pour vous ! » Maze
« Le groupe lance dix titres d’un rétro générationnel indémodable. Avec cette formule affinée, DYE CRAP entretient la flamme de ces entités comme Fuzz, qui s’appliquent avec toujours plus d’entrain à persévérer dans des genres musicaux increvables. » Manifesto XXI
« La ville la plus productive des deux dernières années : Rouen. À chaque clignement d’œil, un nouveau bon groupe sort. Le dernier album issu du centre de formation normand s’appelle Dye Crap, qui est également le nom du groupe. Pratique. Ce disque à la pochette nostalgique va puiser dans le garage. Une sorte de FIDLAR en plus doux. La quatuor nous invite dans son rêve poétique ou dans sa poésie rêveuse, c’est selon. » Rock&Folk
« Dye Crap a, dans ses accords plaqués de gratte, la rage et le talent des anciens. Porté dans le rock garage, quasi-punk anglais, le quatuor frappe fort pour ce premier disque. » L’Obs