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« Leur côté punk et leur groove funky »

Indie Rock 

Birmingham, UK

 

Jouer du rock’n’roll bruyant dans un cottage de la campagne anglaise, habillé d’un pull tricoté main, voilà ce que c’est d’être un Silver Line.

Formé par les frères Ravenscroft qui s’ennuyaient devant le paysage actuel des groupes à guitare, Dan (chant) et Joe (guitare) ont décidé de créer de la musique qui les excitait vraiment. En 2019, ils rencontrent Kindo (batterie) et Joe (basse) et retournent s’installer dans leur ville natale, Birmingham. Depuis, ils enchaînent les concerts du Royaume-Uni aux Etats-Unis, en salles et festivals, et ont vu leurs premiers singles diffusés sur BBC Radio 1, BBC Radio 6 Music et Radio X.

Loin d’eux l’envie d’être un énième “groupe indé de mecs blancs” qui chante d’amour adolescent ou qui râle des espèces de citations prophétiques : The Silver Lines arrivent avec des textes qui n’ont pas peur de toucher des sujets tabous. Leurs titres les plus récents abordent par exemple la masculinité toxique, l’abus de drogue, l’exploitation sexuelle ou encore les normes sociales.


EXTRAITS DE PRESSE

« Le quatuor de Birmingham, également fratrie se montre pour la première fois en France. C’est à dire s’il a à coeur de poursuivre l’héritage de ses aînés. Et c’est non sans une certaine arrogance qu’il s’amuse à faire culbuter le hip-hop avec le punk et la funk. » Rolling Stone

« Si ceux-là ne deviennent pas la sensation rock de 2024, c’est on a mal nettoyé nos oreilles. Ces Britanniques ont choisi de rompre avec un certain post-punk en vogue outre-Manche ces dernières années, pour revenir à un rock plus directe et pop. Leur tout dernier single, « Bound », les voit propulser leur son vers des horizons plus ambitieux encore. » Magic RPM

« The Silver Lines arrivent avec des textes qui n’ont pas peur de toucher des sujets tabous. Leurs titres les plus récents abordent par exemple la masculinité toxique, l’abus de drogue, l’exploitation sexuelle ou encore les normes sociales » FIP

« Originaire de Birmingham, le quatuor The Silver Lines a en tout cas tapé dans l’oreille de Jean-Louis Brossard qui les a découverts au festival Focus Wales au printemps. « Ces gars savent vraiment écrire des chanson pop, tu gardes vraiment leurs morceaux en tête et le chanteur a énormément de charisme », souligne le programmateur des Trans Musicales » 20 minutes

« Qui a dit que le rock était mort ? Certainement pas The Silver Lines, quatre jeunes garçons venus de Birmingham, qui pourraient bien augurer le grand retour du rock britannique à guitares. Les Trans Musicales seront leur première date en France et on s’attend à une déflagration. » L’Obs

« La relève pourrait bien s’appeler The Silver Lines, qui a donné un concert volcanique avec un alignement classique basse/batterie/guitare/chant. Le groupe de Birmingham est d’une efficacité redoutable : mise en place parfaite, riffs acérés, compositions précises et présence désinvolte. C’est so british et ça envoie. » L’Humanité